mercredi 30 mars 2011

Lonesome Whale

Depuis samedi, je suis une baleine solitaire. Le baleineau est parti avec Papa baleine faire un tour dans l'Ouest, le vrai.

Que faire de toute cette liberté ? Rattraper le retard de cinés, de potins entre copines, de promenades...mais aussi de glandouille et de séries débiles.

Maintenant que ce break est quasi-terminé, je me dis que :

1°/ C'était drôlement bien, même si je suis physiquement incapable de dormir au-delà de 7h30 même un dimanche (ceci dit, ça tombait en plein dans le changement d'heure, donc finalement j'ai réussi l'exploit de me réveiller à 8h30...jouez hautbois, résonnez musettes)

2°/ Je suis bien contente de revoir mes deux mâles demain soir, pour faire des papouilles, des zigouigouis et des bêtises. Non, je ne détaillerai pas avec qui je ferai quoi, bande de petits curieux.

3°/ Cette liberté n'aurait à mon sens aucun intérêt si elle était permanente. Ce break était précieux justement parce que c'était un break, et qu'il a une fin. La liberté n'a-t-elle de sens que si elle est temporaire ? (vous avez quatre heures, calculatrice autorisée).

En bonus track : aouuuuuuuuuuuum (a.k.a le cri de ralliement de la baleine esseulée).