samedi 29 mai 2010

Abel in the Sky with Diamonds

Mais quel enthousiasme m'a pris aujourd'hui? J'ai finalisé mon tricot ET mes guirlandes étoiles en un après-midi, autant vous dire que Modes et Travaux n'a plus rien à m'apprendre!

(mode gros-mollets-qui-ne-passent-plus-les-portes désactivé)

Donc ces guirlandes : plutôt satisfaite du résultat, pour un minimum de difficulté et de temps. Le mouton d'Abel est intenable en ce moment, j'ai eu la plus grande peine du monde à les accrocher comme je le souhaitais.

(mode maman schizo qu'on se croirait dans Psychose désactivé)

Le baleineau, futur cosmonaute?

Masterpiece

Victoire! J'ai cousu le bouton final sur le paletot du baleineau! Quelle émotion...

Je remercie:

- mes collègues, pour ce beau cadeau qui m'a bien occupée ces trois dernières semaines!
- Mémie Tricot, pour tous ses précieux conseils (même si finalement, j'ai assemblé "à la Céline", un peu comme ma vinaigrette quoi)
- les commentateurs de Roland Garros, qui ont accompagné la confection de ce chef d'oeuvre (vous ne pouvez pas voir là, mais c'est écrit "Masterpiece" sur le petit badge orange)

Prochain défi : un nid d'ange rayé. L'a peur de rien la baleine-mère.

vendredi 28 mai 2010

Lucky Star

Cet après-midi, c'était atelier "origami". J'ai fabriqué de petites étoiles en papier, en vue d'une future guirlande pour décorer...vous savez quelle pièce!

C'est très facile, il suffit de suivre les instructions de cette petite vidéo.

Sortie à l'air libre

Alors que mes journées passent et se ressemblent (derniers achats pour le baleineau, Roland Garros, tricot, promenade), j'ai eu envie de revoir mes amis "les branques".

Rendez-vous était fixé dans un café rue de Reuilly, et comme ça fait du bien! D'autant qu'une chose en entraînant une autre, nous nous sommes retrouvés dans une brasserie hautement recommandable du côté de Montgallet.

Merci les brancosses!

Grand jeu-concours : sauras-tu retrouver quel était le verre de la baleine-mère?

mardi 25 mai 2010

Les caissières de supermarché sont des sorcières

D'abord attendries par mon ventre rond, elles s'exclament TOUJOURS "ventre pointu, c'est un garçon". Comme j'aimerais leur dire "raté!"...mais quand on achète un pantalon et une brassière bleus, difficile de mentir.

Selon celle de ce matin, c'est parce que "nous les filles, on aime s'étaler, même dans le ventre de maman". J'ai pensé "vu votre envergure, dans certains cas ça se comprend", mais j'ai pas osé.

Top 5 des trucs qui ne me manqueront pas après l'accouchement : n°5

...devoir me contorsionner pour attacher les lanières de mes sandales.

Vous m'auriez vue ce matin : ri-di-cule.

(dessin : minisushi)

lundi 24 mai 2010

On ira déjeuner au parc...

Quand on a des enfants à Paris, l'un des passages obligés c'est le PARC. Histoire que nos marmots prennent un peu l'air (vicié) de la capitale, et s'ébrouent dans la poussière.

Cet après-midi, M. Baleine et moi nous sommes donc posés sur l'un des bancs du Carré de Baudouin, à Ménilmontant, et avons observé la populace, afin de nous assurer que ce parc était digne d'accueillir notre progéniture. Verdict : pas mal. Beaucoup mieux en tout cas que le square Sorbier que nous avons testé hier : on a pu y croiser les Vamps en représentation (dont l'un des rejetons s'appelle Kevin...ça ne s'invente pas), un papa en chaussettes hautes, short et banane, et des bancs tapissés de crottes de pigeon.

Donc, le Carré de Baudouin : clientèle bobo certes, mais bigarrée.

Côté adultes :
- une brochette de papas clopeurs, façon Le Coeur des Hommes,
- une merguez en train de se faire dorer, téléphone vissé à l'oreille (non je n'ai pas du tout envie de barbecue),
- une misanthrope, dos au soleil et à la populace, drapée dans son keffieh.

Côté marmots :
- LA princesse du parc (cf. photo), classe absolue avec sa couronne en plastique rose,
- qui a passé son temps à bâtir un château de boue avec sa cop's blonde (attends, je vais reprendre de l'eau, je crois que ça manque là),
- et qui a dragué un nerd à lunettes scotchées en faisant tourner sa robe plus haut que ses copines.

Voilà le monde où tu t'apprêtes à entrer mon baleineau.